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Succédant aux Trophées des élus d’Éole, organisés par France renouvelables, cette édition récompense des projets éoliens terrestres mais aussi, pour la première fois, des projets photovoltaïques et d’éolien en mer.

Les Conseillers en énergie partagés, les Générateurs, les Élus pour agir et le programme Territoire engagé pour la transition écologique (Tete) sont quatre réseaux animés par l’Ademe pour faire avancer la transition dans les collectivités. À qui s’adressent-ils ? Comment fonctionnent-ils ? On fait le point.

La Communauté urbaine de Dunkerque a décidé d’interdire la construction de parking aux futures entreprises de sa zone industrielle. L’objectif est de favoriser un moyen de transport alternatif moins cher et moins polluant tout en favorisant l’accès à l’emploi et en évitant la surfréquentation des infrastructures routières.

La Ville de Lyon a choisi le circuit court pour s’alimenter en électricité renouvelable. Après avoir signé un premier contrat d’achat direct, elle a lancé récemment un appel à manifestation d’intérêt pour couvrir l’ensemble de ses besoins. Grâce à cette solution, la collectivité bénéficie d’un tarif sans surcoût et d’une visibilité sur plusieurs années. Explications.

À Plœuc-l’Hermitage, dans l’agglomération de Saint-Brieuc Armor, une ombrière photovoltaïque sera prochainement installée grâce à un financement participatif. Un système qui permet de sensibiliser les citoyens aux installations réalisées par la collectivité et qui leur offre la possibilité d’investir leur argent dans des projets locaux.

Dans le Doubs, près de Besançon, neuf éoliennes en service depuis 2016 ont permis à Mésandans, petite commune de 245 habitants, de générer 1 million d’euros de revenus. Grâce à cette somme, une école a été construite, la forêt est mieux entretenue et les réseaux d’eau pluviale et d’eau potable ont été refaits. Entretien avec Joseph Cuenot, maire de Mésandans depuis 24 ans.